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Rien ne me fait plus rêver, ni la nuit ni les étoiles, ni les sourires, ni les amoureux ni les paysages, ni les soleils ni l’écriture, ni la réussite ni l’argent, ni les espoirs, ni les rêves, ni les lubies, ni les chimères, ni les fantasmes, ni les élucubrations, ni les cliquetis passagers, ni le cinéma, ni les chemins de traverse, ni les promesses closes, ni les comptoirs à silence, ni les talents, ni les élancements du coeur, ni les coffres à trésors, ni les rayons de lumière, ni les jeux infinis, ni les orages, ni les mines fraîchies, ni les larmes, ni les musiques, ni les temps délabrés, ni les pièces de tissu raccommodées, ni les intimes sauvageries, ni les mangroves parfumées, ni les fruits exotiques, ni les odeurs inconnues, ni les voyages sur la mer, ni les mystères irrésolus, ni les élévations magiques, ni les féeries, ni les paradis éphémères, ni les mains endolories, ni les saisons, ni les rafraîchissements marins, ni les sels de la nuit, ni les chorus résonnants au sein des églises, ni les idées passagères, ni les envies, ni les passions, ni les battements du coeur, ni les jours à venir, ni les levées du soleil, ni les instants précieux, ni les craintes d’une nuit différente de toutes les autres, ni les joies, ni les chants, ni les aveux, ni les flammes sacrées, ni les couleurs, ni les oreillers, ni les baies vitrées donnant sur la mer, ni les visions astronomiques, ni les vers, ni les cris des enfants, ni le bonheur, ni les longs cheveux, ni la mort, ni les ballades nocturnes, ni les peintures, ni les dons du coeur, ni la tristesse, ni le malheur, ni l’alcool, ni la bourse, ni la mélancolie, ni les livres, ni les framboises, ni les technologies, ni les émotions