Une fine membrane me sépare d’une chose que j’ignore, et c’est avec une éphémère et lente euphorie que je vais à sa rencontre. Cela m’a semblé briller l’espace d’un instant. Pulsar milliseconde. C’est tout. Ça n’est pas rien, quand on est dans le noir, un peu seul. Mais surtout dans le noir. Surtout seul.
Commentaires récents