L’homme qui marche, lorsqu’il se prend un pigeon dans la gueule, fait comme si de rien n’était, si ce n’est ce léger frisson qui parcourt sa nuque, sensibilisée par un million d’étreintes.
L’homme qui marche, lorsqu’il se prend un pigeon dans la gueule, fait comme si de rien n’était, si ce n’est ce léger frisson qui parcourt sa nuque, sensibilisée par un million d’étreintes.
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