J’ai tant pensé, et si peu écrit. Je cherche la sincérité et ne la retrouve pas, sous un amas de feuilles et d’artifices. La confusion régnante. Je me cherche moi-même, sous l’écorce, je cherche cette émotion dénuée de soupçons, cette vérité comme un éclair. C’est ma présence en société qui me nuit et me voile.
Je cherche, dans les lignes d’autres poètes, de quoi raviver cette flamme qui n’a plus à faire ses preuves pour montrer qu’elle existe. Dans le tourbillon, dans la tourmente, je crois que ce que je recherche, c’est un peu de silence.
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