Écran allumé, on interpénètre l’univers ; le temps d’un hoquet tout au plus. Il y a une minute encore, l’univers était recelé, hors d’atteinte. Le petit noité était las, en attente d’une abstraction qui ne parvenait pas à venir au jour. Il a suffit d’un clic sur le bouton pour se transcender. Qui, et quoi vient, la besace riche de phénomènes, de promesses déployées ? Le formaté deviendrait soupape d’étincelles, sitôt connecté à la source des signaux cosmiques ? Hey, j’appuie sur le bouton.
Commentaires récents