Nous avons trop parlé de tout ceci. Trop parlé, tout court, de ceci. Nous pourrions facilement nous extraire. Faire un pas de côté. Un petit pas de côté sans lendemain. Facile et osé dirait-on sans y penser. Couper court aux choses sans lendemain. Encore faut-il y songer sérieusement. Ne serait-ce qu’un très court instant y songer. Sans y prendre garde, faire un petit pas de côté pour voir. Voir si jamais il se passerait quelque chose, de ce côté-ci du mur ou de l’autre. De l’autre.
ah oui, intéressant, donne à méditer. en particulier je pense à internet et les relations virtuelles, c’est le mur le plus épais voire opaque qui soit je crois.
Tu as vu juste, je pensais aux relations humaines. Quelqu’un a pensé que je parlais de la mort et s’est même inquiété de mon sort (!)
Merci à toi Kelig pour ta lecture.
C’est humain de s’inquiéter pour son prochain.
Je te souhaite d’aller bien, et puis peut-être un jour on serrera la main, on se fera la bise en vrai.
Merci Kelig, j’apprécie beaucoup tes mots. Je te souhaite moi aussi d’aller bien, et oui, peut-être un jour aurons-nous l’occasion de nous serrer la pince ! Bien à toi, François