Une pièce mécanique, quelque part (je ne cherche pas véritablement à savoir où) s’est brisée. Cette pièce mécanique n’était pas nécessaire au bon fonctionnement du dispositif. Je dirais plutôt que cette pièce était de trop : telle une clef de douze qui, coincée entre les dents d’un énorme rouage, en bloquerait la rotation.
Désormais les roues métalliques tournent de façon plus fluide et surtout, plus redoutable.
Le labyrinthe peut être entrepris à nouveau :
la patience et la volonté refont surface.
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