J’ai une sorte de règle que je me suis fixé à moi-même, à savoir si un
écrit ne peut pas être lu par un enfant, si celui-ci repousse le texte
en disant « j’ai rien compris », alors ce n’est pas valable. Mais je ne
veux surtout pas dire par là qu’il s’agit de faire dans la naïveté ou
la gnangnantise.
La jubilation je crois, a quelque chose à voir avec l’enfance,
« l’enfance retrouvée à volonté ».
Et l’absence de sens me semble (mais là, peut-être qu’on pourra me
contredire) être incompatible avec cette enfance, qui est d’abord un
flamboiement, une effervescence.
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